Aïe ouille !

6 novembre 2006

Il fait un temps à ne pas se tremper les roustons dans une bassine d'eau à température ambiante sur le balcon. De toute façon, c'est interdit par la loi.
Ce merveilleux préambule n'avait que pour seule fonction de placer le mot roustons (10 points).
Il faut dire aussi que je me suis occupé aujourd'hui à une activité à côté de laquelle se peler les pastèques naines à l'épluche-légume est une joyeuse rigolade.
+15 points.
Je découpe-coupe-coupe les fichiers-yé-yé son du film en petits bouts, tronçons que je maudits jusqu'à la 13ème génération et qui correspondent chacun à une séquence.
Je sais, vous vous en foutez.
Mais c'est mon côté bosseur qui se reveille à vouloir faire en 2 heures ce qui normalement devrait prendre 3 jours. B'., si tu me lis, tu pourras témoigner que je suis un gars sérieux et responsable sous mes dehors de branleur légèrement catatonique ?
Bref, maintenant à force d'être resté crispé toute l'après-midi (d'ailleurs, on dit un ou une après-midi ?), j'ai le chi qui se dilate, les dorsaux noués, et je pense très fort, merci mon dieu, j'aurais pu avoir un cancer dégénératif horriblement douloureux. Mais pas grave, moi je dis : dans deux jours, je vois L. qui va me nettoyer vigoureusement tout ça avec ses massues dactylaires. Massues de fées, massues graciles, il va sans dire.
Je pense que je vais regarder un film con ce soir ...