Un joli cadeau
En général, j'aime bien parler de moi, parce que c'est un sujet assez interessant, dont je ne me lasse pas. Les gens qui me disent que je suis beau ne se lassent pas non plus. C'était le sujet d'un article dans lequel, grâce à une habile parabole, je fustigeais - mon courroux est terrible - les ahuris qui n'arrivent pas où il faut et ne savent pas goûter l'excellence de ma prose, tous frustrés qu'ils sont. Ca disait : il y a les égarés qui arrivent chez moi en ayant tapé dans Google Zoophilie hardcore avec des crevettes pré-pubères.
Un jeune lecteur désireux de bien faire (et de dessiner des poils de bite) m'a envoyé le joli dessin qui suit pour illustrer mon propos.
Quand je pense que certains prétendent que l'internet est une source de savoir qui permettra l'émergeance d'une intelligence multiple (et autre calembredaines pour sociologues hypes) ... Un repaire de pornographes, oui ...